mardi 16 octobre 2012

Teaser Tuesday n°10 : la 99e page

Hello vous tous ! Comme vous avez pu le remarquer le blog est un peu à l'arrêt... Il y a une bonne raison... j'ai pas mal de lectures pour l'école qui me prennent tout mon temps (faut prendre des notes à chaque chapitre, etc -_-) et au point de vue de mes lectures personnelles y a rien de sensiblement intéressant au point d'en faire une chronique.

J'ai pour finir abandonné "Le maître des dragons", j'avais dit que j'adorais, mais c'est avant de commencer à tout confondre, à mélanger les histoires (parce qu'à chaque chapitre on change d'époque et donc on change de personnages accompagnant le héros et ... bah non je n'arrive plus à continuer...)

Il est peut-être abandonné que temporairement, ce qui est sûr c'est que quand je le continuerai, je devrai le recommencer du début...

Donc voilà, tout ça pour dire que j'ai changé de bouquin... Maintenant je lis "Abraham Lincoln, Chasseur de vampires"  de Seth Grahame-Smith (celui qui a parodié le "Orgueil et préjugés" de Jane Austen)

Voici l'extrait de la page 99 :

"Malheureusement, Henry n'avait pas de réponse à aucune de ces questions. Comme la plupart des vampires, il avait longtemps été obsédé par son "lignage" dans l'espoir de découvrir le premier vampire, comme si cette découverte pouvait lui apporter une vérité plus profonde, voire un remède. Et, comme pour bien des vampires avant lui, cette quête fut vaine. Même les vampires les mieux renseignés ne remontaient qu'à deux ou trois générations.
- Cela tient à notre nature solitaire, expliqua Henry.

A dire vrai, les vampires se montrent rarement en société et ne se mêlent quasiment jamais à leurs congénères. La rareté des proies faciles instaure une compétition impitoyable entre eux, et leur style de vie nomade compromet la naissance d'attaches durables. En de rares occasions, il est possible que des vampires œuvrent en tandem ou en meute, mais ces alliances naissent le plus souvent de la nécessité, et sont presque toujours provisoires.

- Quant à l'identité de notre ancêtre, je crains qu'elle ne reste à jamais nimbée de mystères, dit Henry. Certains pensent que nous descendrions d'un esprit malin ou d'un démon, qui se serait transmis d'une âme fortunée à une autre, comme une malédiction héritée par le sang. D'autres croient que nous descendons du diable en personne. Nous sommes bien plus nombreux, moi compris, à croire que notre "malédiction" ne tient sa source nulle part, que les vampires et les hommes sont deux espèces distinctes ayant coéxisté depuis qu'Adam et Eve ont été chassé du Paradis. [...]"

Il y a deux styles d'écriture dans ce roman : l'écriture normale, qui raconte l'histoire à la troisième personne et l'autre écriture (d'une police différente et un peu plus petite) qui sont des citations du propre journal d'Abraham Lincoln. 
Pour ce teaser, j'ai décidé de changer radicalement de police d'écriture car au début du roman j'étais un peu déroutée en voyant que l'on passait d'une narration à la troisième personne à une narration à la première personne. Dans cet extrait, ce n'est pas récurrent, mais parfois cela déstabilise un peu.

Sinon que dire de cet extrait ? Il ne raconte pas grand chose c'est vrai... Abraham cherche à connaître les origines des vampires, il est déjà chez Henry... (dire plus ce serait spoiler, donc non :))

Je ne sais pas si vous avez vu le film et si vous l'avez aimé... Moi je l'ai vu, j'ai beaucoup aimé, mon copain en a fait une bonne critique (peut-être la seule critique positive de ce film sur le net). Beaucoup disent que le film fait tache par rapport au livre... J'ai commencé le livre dans le but de me faire une opinion (même si je n'aime pas le livre j'en ferai la chronique, promis) 

Pour le moment j'aime les deux, je suis au premier quart du livre, j'aime beaucoup même si c'est vrai que c'est sensiblement différent par rapport au film... Mais, n'est-ce pas comme toutes les adaptations cinématographiques de livres ? Les livres exploitent toujours plus en profondeur que les films... Enfin voilà... On verra =) 

Pour aller lire la critique du film, c'est par ICI

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